La guerre en Ukraine
Trump a promis de régler le problème de l’Ukraine en négociant directement avec Poutine.
Des fuites suggèrent que Trump pourrait négocier un arrêt des combats sur la ligne de front actuelle et le retrait des troupes russes de certaines zones occupées.
La question de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN sera cruciale dans les négociations. Trump pourrait proposer de retirer le soutien à l’adhésion de l’Ukraine en échange du retrait russe.
Un accord de paix pourrait être conclu d’ici fin janvier, notamment si les États-Unis mettent la pression sur l’Ukraine et ses alliés européens.
Le conflit israélo-palestinien :
Trump, proche de Benjamin Netanyahou, pourrait imposer une solution au conflit, probablement favorable à Israël.
La question des colonies israéliennes en Cisjordanie et du statut de Jérusalem sera centrale dans les négociations. Trump pourrait utiliser son influence sur Israël (aide militaire et financière) pour forcer un accord.
La paix au Moyen-Orient est un objectif important pour Trump, qui souhaite se concentrer sur la Chine.
Les relations américano-chinoises :
La Chine est l’ennemi principal de Trump, qui souhaite maintenir la suprématie américaine.
Trump, en tant que « commerçant », privilégie les accords et les pressions économiques plutôt que la guerre.
L’auteur cite l’exemple de l’interdiction d’exportation de puces électroniques vers la Chine comme une mesure de pression économique efficace.
La rivalité entre les deux pays devrait s’intensifier, avec des pressions économiques croissantes de la part des États-Unis.
L’Europe risque de se retrouver prise entre deux feux dans cette rivalité, subissant les conséquences des politiques protectionnistes américaines.
Alain Juillet souligne que l’Europe doit présenter un front uni et fort face aux États-Unis pour défendre ses intérêts.
Il encourage les Européens à repenser leurs modèles économiques pour faire face aux défis à venir.