La directrice de l’Agence européenne des médicaments (EMA), Mme Cook, est confrontée à des questions difficiles concernant les effets secondaires des vaccins COVID-19.
Mme Cook est critiquée pour avoir autorisé les vaccins Pfizer et autres en seulement 10 jours, sans études complètes et sous une forte pression politique. Virginie Joron souligne que plus de 11 000 décès post-vaccination ont été signalés à l’EMA.
L’un des principaux reproches adressés à l’EMA est sa lenteur à réagir aux effets secondaires graves des vaccins. Virginie Joron rappelle que ce sont souvent des agences nationales, comme en Suède, qui ont été les premières à identifier des problèmes comme les thromboses, les myocardites et les hémorragies féminines.
Mme Cook est également interrogée sur le financement de l’EMA, dont 357 millions d’euros proviennent des laboratoires pharmaceutiques. Virginie Joron s’interroge sur l’influence que cela pourrait avoir sur l’indépendance de l’agence.
Le témoignage poignant de Valérie, mère de Justine, une jeune femme de 20 ans ayant souffert d’effets secondaires graves après la vaccination, est présenté dans la vidéo. Justine a développé une encéphalopathie myalgique avec fibromyalgie incomplète après la vaccination.
Virginie Joron demande à Mme Cook de prendre en considération tous les témoignages de personnes ayant souffert d’effets secondaires et de mettre en place un numéro vert pour les signaler. Elle souligne que derrière chaque témoignage se trouve une vie humaine.
Mme Cook défend le système actuel de réglementation des médicaments et affirme que l’EMA dispose de mécanismes solides pour lutter contre les conflits d’intérêts. Elle reconnaît cependant qu’il est toujours possible d’améliorer le système et que des financements supplémentaires pourraient permettre de réaliser des études complémentaires.