Sante

Recours au tribunal administratif contre l’ANSM – Entretien avec Christine Cotton

Christine Cotton, biostatisticienne expérimentée dans l’industrie pharmaceutique, a récemment déposé un recours au tribunal administratif contre l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) concernant les injections COVID-19 de Pfizer et Moderna.

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Christine Cotton, biostatisticienne expérimentée dans l’industrie pharmaceutique, a récemment déposé un recours au tribunal administratif contre l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) concernant les injections COVID-19 de Pfizer et Moderna. Son analyse approfondie des données des essais cliniques, ainsi que d’autres documents officiels, révèlent des conclusions troublantes qui remettent en question la sécurité et l’efficacité de ces vaccins.

Les accusations de Cotton sont graves et étayées par des preuves tangibles. En examinant la base de données de l’essai clinique Pfizer, elle a découvert ce qu’elle qualifie de « fraude manifeste ». Des erreurs de saisie concernant les décès, particulièrement chez les moins de 60 ans, suggèrent une manipulation des données visant à minimiser la toxicité du vaccin. De plus, le calcul de Cotton sur l’efficacité réelle du vaccin Pfizer, basé sur la sérologie anti-Nucléocapside, révèle un taux de 53%, bien loin des 95% martelés par les autorités sanitaires et les médias.

« Le produit administré à la population n’est pas celui de l’essai clinique »

Un autre point crucial soulevé par Cotton est le changement inexpliqué du procédé de fabrication du vaccin Pfizer. Le produit administré à la population diffère de celui utilisé lors des essais cliniques. Ce nouveau procédé, qualifié de « haut de gamme » ou « d’approvisionnement d’urgence » par l’agence australienne TGA, présente deux fois plus d’effets indésirables que le procédé initial. Cette information cruciale n’a jamais été communiquée au public et la comparaison des deux procédés a été retirée du protocole de l’essai.

L’analyse de Cotton ne se limite pas à la base de données Pfizer. Elle se penche également sur les essais précliniques, les rapports de sécurité périodiques, les plans de gestion des risques, et d’autres documents des agences de santé. Elle dénonce un manque de transparence flagrant et une surveillance insuffisante de la part des agences de santé, notamment l’ANSM, qu’elle accuse de ne pas avoir rempli leur mission de protection de la population.

En plus de la manipulation des données et du changement de procédé de fabrication, Cotton pointe du doigt la méthodologie biaisée des études observationnelles « en vie réelle ». Ces études, souvent utilisées pour minimiser la toxicité des vaccins, ne sont pas fiables selon elle, car leur méthodologie est conçue pour ne pas trouver de lien entre les vaccins et les effets indésirables graves.

Cotton conclut que les vaccins Pfizer et Moderna sont « toxiques » et représentent un « poison » pour la population. Elle appelle à un arrêt immédiat de la vaccination et à une réévaluation complète du rapport bénéfice-risque. Elle insiste sur la nécessité de restaurer la rigueur scientifique dans la recherche clinique et de tenir les responsables des agences de santé pour leur manquement à leur devoir de protéger la population.

Le recours de Cotton au tribunal administratif est une étape cruciale dans ce qui promet d’être une bataille juridique longue et complexe. Si ses conclusions sont confirmées par la justice, les conséquences pourraient être considérables pour l’industrie pharmaceutique et les autorités sanitaires.

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