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Le Discours de JD Vance à Munich
Source: Radio Maudin
Munich, Allemagne – Lors de la Conférence sur la sécurité de Munich, le vice-président américain J.D. Vance a prononcé un discours percutant mettant en garde contre les menaces internes qui pèsent sur les valeurs démocratiques en Europe et aux États-Unis.
S’exprimant devant un parterre de délégués, de personnalités et de professionnels des médias, Vance a exprimé sa sympathie envers la ville de Munich à la suite de la récente attaque.
Au cœur de son discours, Vance a affirmé que la plus grande menace pour l’Europe n’est pas la Russie ou la Chine, mais un recul par rapport aux valeurs fondamentales partagées avec les États-Unis. Il a critiqué des actes récents de responsables européens, y compris un ancien commissaire européen, qui semblent compromettre les principes démocratiques, tels que l’annulation d’élections et les menaces de censure.
Vance a rappelé à l’auditoire l’époque de la Guerre froide, où les défenseurs de la démocratie se sont opposés à des forces tyranniques qui censuraient les dissidents et fermaient les églises. Il a déploré que l’Europe actuelle semble parfois oublier les leçons de cette époque.
JD Vance recadre l’oligarchie Européiste.
Le vice-président a ensuite énuméré une série d’exemples spécifiques de restrictions à la liberté d’expression à travers l’Europe:
Les menaces de l’UE de fermer les médias sociaux en cas de troubles civils.
– Les descentes de police en Allemagne contre des citoyens soupçonnés de publier des commentaires anti-féministes.
– La condamnation en Suède d’un militant chrétien pour avoir participé à des profanations du Coran.
–Les lois britanniques qui criminalisent la prière silencieuse à proximité des cliniques d’avortement.
–Les lettres du gouvernement écossais avertissant les citoyens que même la prière privée chez eux pourrait être illégale.
Reconnaissant que les États-Unis ne sont pas à l’abri de telles dérives, Vance a admis que son propre pays avait parfois cédé à la tentation de la censure. Il a cité l’exemple de la pression exercée par l’administration précédente sur les entreprises de médias sociaux pour qu’elles censurent la désinformation.
Se tournant vers l’avenir, Vance a offert une collaboration avec l’administration Trump pour défendre la liberté d’expression. Il a insisté sur le fait que, même en cas de désaccord, il est essentiel de protéger le droit de chacun à exprimer son opinion. Il a souligné que le véritable enjeu est de savoir ce que nous défendons et a plaidé pour une vision positive qui anime le pacte de sécurité partagé.
Vance a également abordé la question de la migration de masse, la qualifiant de défi urgent. Il a souligné que les citoyens européens se soucient de leur sécurité et de leur capacité à subvenir à leurs besoins, et qu’il est essentiel de tenir compte de leurs préoccupations.
Vance a insisté sur le fait que la démocratie repose sur le principe sacré que la voix du peuple compte. Il a encouragé les dirigeants européens à écouter leurs citoyens, même lorsqu’ils expriment des opinions divergentes, et a conclu en citant les paroles de Jean-Paul II : « N’ayez pas peur ». Son message a été clair : la force de la démocratie réside dans sa capacité à embrasser la diversité des opinions et à respecter la liberté d’expression de tous.