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Joe Biden gracie son fils Hunter

Joe Biden pourrait utiliser son pouvoir présidentiel pour gracier son fils et mettre fin aux poursuites judiciaires

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L’affaire Hunter Biden, fils du président américain Joe Biden, continue de faire couler beaucoup d’encre. Accusé de corruption, d’influence indue et de blanchiment d’argent, le dossier s’épaissit avec de nouvelles révélations troublantes.

Les débuts de l’affaire : Burisma et l’Ukraine

Dès 2014, Hunter Biden est nommé au conseil d’administration de Burisma, une compagnie pétrolière ukrainienne. Son père, alors vice-président de Barack Obama, est accusé d’avoir fait pression sur le gouvernement ukrainien pour faire renvoyer un procureur qui enquêtait sur cette société. Joe Biden aurait menacé de retenir un prêt d’un milliard de dollars si le procureur n’était pas limogé. Cette accusation de trafic d’influence a été largement relayée par les opposants politiques de Joe Biden, notamment lors de la campagne présidentielle de 2020.

Un rapport de 630 pages, le ‘Marco Polo report’, documente des crimes présumés de Hunter Biden, incluant 191 crimes sexuels, 128 crimes liés à la drogue et 140 crimes commerciaux.

Le scandale de l’ordinateur portable d’Hunter Biden

En 2020, le contenu d’un ordinateur portable, prétendument appartenant à Hunter Biden, est rendu public. On y trouve des informations compromettantes concernant sa vie privée, des accusations de crimes sexuels, de consommation de drogue et des preuves de transactions financières suspectes. L’authenticité de cet ordinateur a d’abord été remise en question, certains évoquant une possible manipulation russe. Cependant, la véracité de son contenu a été confirmée par la suite.

Des accusations de corruption et de blanchiment d’argent

Le contenu de l’ordinateur portable et d’autres sources révèlent que la famille Biden aurait reçu 10 millions de dollars de sociétés étrangères. Les accusations portent sur des faits de corruption, de blanchiment d’argent et de racket, commis par Hunter Biden en utilisant l’influence de son père. Un rapport de 630 pages, le « Marco Polo report« , documente ces crimes présumés, incluant 191 crimes sexuels, 128 crimes liés à la drogue et 140 crimes commerciaux. Des commissions auraient été versées à « the big guy », surnom donné à Joe Biden.

La grâce présidentielle et le silence médiatique

Malgré les preuves accablantes, Hunter Biden plaide coupable uniquement pour des délits mineurs, comme une fraude fiscale et la possession d’armes. La justice américaine semble vouloir étouffer l’affaire en se concentrant sur des accusations mineures pour éviter de mettre en lumière les accusations plus graves. Il est également question d’une possible grâce présidentielle accordée par Joe Biden à son fils pour le protéger de toute poursuite judiciaire.

L’affaire Hunter Biden soulève de sérieuses questions sur la corruption au sein du pouvoir américain et le rôle des médias dans cette affaire. La couverture médiatique a été largement critiquée pour avoir minimisé ou ignoré l’histoire, notamment pendant la campagne présidentielle de 2020. Seuls certains médias, qualifiés de « conspirationnistes », ont relayé les accusations contre Hunter Biden. Ce silence médiatique interroge sur la liberté de la presse et l’influence du pouvoir politique sur les médias.

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