Coup de tonnerre : Véran et Ursula faits comme des rats !

L’actualité est secouée par plusieurs événements majeurs qui alimentent la lutte contre « la dictature sanitaire ». Le scandale du Paxlovid, un traitement contre la Covid-19 produit par Pfizer, met en lumière le gaspillage financier et les potentiels conflits d’intérêts au sein du ministère de la Santé français. L’élection de Donald Trump, et la nomination subséquente de Robert Kennedy Jr. comme ministre de la Santé aux États-Unis, est perçue comme un signe d’espoir pour la liberté d’expression et la résistance face aux politiques sanitaires controversées.

Le scandale du Paxlovid:

135 000 boîtes de Paxlovid, un traitement Pfizer contre la Covid-19 vendu à près de 1000€ la boîte, sont sur le point d’être jetées en France, représentant un gaspillage de près de 135 millions d’euros.

Ce traitement avait été commandé en masse par Olivier Véran, alors ministre de la Santé, malgré les doutes sur son efficacité et ses potentiels effets nocifs.

L’affaire soulève des questions sur la gestion des fonds publics et les liens entre le gouvernement et les laboratoires pharmaceutiques.

Une commission d’enquête parlementaire est demandée pour faire la lumière sur ce scandale.

L’effet libérateur de l’élection de Trump

La nomination de Robert Kennedy Jr., connu pour ses positions critiques envers l’industrie pharmaceutique, comme ministre de la Santé américain est perçue comme un tournant majeur. Cette nomination suscite l’espoir d’une plus grande transparence et d’un retour à une recherche scientifique plus rigoureuse.