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Arrêté Avec Drog*e Et Cash : Libéré Sans Détention, Scandale Judiciaire !
DME dénonce le laxisme de la justice française, qui a suscité de vives réactions et nous permet d’aborder des questions cruciales sur le fonctionnement de notre système judiciaire.
Un Sentiment d’Impunité Face à la Criminalité
Arrêté en possession de 15 kg de drogues et 80 000€ en liquide, un trafiquant de drogue avait tenté de fuir les forces de l’ordre, blessant un policier au passage. Sa libération, justifiée par son insertion professionnelle et familiale, a provoqué l’indignation. Cette décision témoigne d’un laxisme inacceptable de la justice, qui envoi un message d’impunité aux criminel.
Un Système Judiciaire Complexe et Déconnecté de la Réalité
Outre ce cas précis, « DME » s’attaque plus globalement à la complexité du système judiciaire français. On peut ironiser sur la longueur du code pénal, en le comparant aux 10 commandements, plus simples et efficaces. « DME » dénonce également une déconnexion entre la justice et la réalité du terrain. La décision de libérer le trafiquant de drogue, en s’appuyant sur des arguments d’insertion sociale, semble particulièrement absurde face à la gravité des faits.
Politics
Le Discours de JD Vance à Munich

Source: Radio Maudin
Munich, Allemagne – Lors de la Conférence sur la sécurité de Munich, le vice-président américain J.D. Vance a prononcé un discours percutant mettant en garde contre les menaces internes qui pèsent sur les valeurs démocratiques en Europe et aux États-Unis.
S’exprimant devant un parterre de délégués, de personnalités et de professionnels des médias, Vance a exprimé sa sympathie envers la ville de Munich à la suite de la récente attaque.
Au cœur de son discours, Vance a affirmé que la plus grande menace pour l’Europe n’est pas la Russie ou la Chine, mais un recul par rapport aux valeurs fondamentales partagées avec les États-Unis. Il a critiqué des actes récents de responsables européens, y compris un ancien commissaire européen, qui semblent compromettre les principes démocratiques, tels que l’annulation d’élections et les menaces de censure.
Vance a rappelé à l’auditoire l’époque de la Guerre froide, où les défenseurs de la démocratie se sont opposés à des forces tyranniques qui censuraient les dissidents et fermaient les églises. Il a déploré que l’Europe actuelle semble parfois oublier les leçons de cette époque.

JD Vance recadre l’oligarchie Européiste.
Le vice-président a ensuite énuméré une série d’exemples spécifiques de restrictions à la liberté d’expression à travers l’Europe:
Les menaces de l’UE de fermer les médias sociaux en cas de troubles civils.
– Les descentes de police en Allemagne contre des citoyens soupçonnés de publier des commentaires anti-féministes.
– La condamnation en Suède d’un militant chrétien pour avoir participé à des profanations du Coran.
–Les lois britanniques qui criminalisent la prière silencieuse à proximité des cliniques d’avortement.
–Les lettres du gouvernement écossais avertissant les citoyens que même la prière privée chez eux pourrait être illégale.
Reconnaissant que les États-Unis ne sont pas à l’abri de telles dérives, Vance a admis que son propre pays avait parfois cédé à la tentation de la censure. Il a cité l’exemple de la pression exercée par l’administration précédente sur les entreprises de médias sociaux pour qu’elles censurent la désinformation.
Se tournant vers l’avenir, Vance a offert une collaboration avec l’administration Trump pour défendre la liberté d’expression. Il a insisté sur le fait que, même en cas de désaccord, il est essentiel de protéger le droit de chacun à exprimer son opinion. Il a souligné que le véritable enjeu est de savoir ce que nous défendons et a plaidé pour une vision positive qui anime le pacte de sécurité partagé.
Vance a également abordé la question de la migration de masse, la qualifiant de défi urgent. Il a souligné que les citoyens européens se soucient de leur sécurité et de leur capacité à subvenir à leurs besoins, et qu’il est essentiel de tenir compte de leurs préoccupations.
Vance a insisté sur le fait que la démocratie repose sur le principe sacré que la voix du peuple compte. Il a encouragé les dirigeants européens à écouter leurs citoyens, même lorsqu’ils expriment des opinions divergentes, et a conclu en citant les paroles de Jean-Paul II : « N’ayez pas peur ». Son message a été clair : la force de la démocratie réside dans sa capacité à embrasser la diversité des opinions et à respecter la liberté d’expression de tous.
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Naviguer dans le Monde de la Désinformation : Fake News, Fact-Checking et Prise de Conscience
Comment distinguer le vrai du faux à l’ère des fake news ? Cet article explore les mécanismes de la désinformation, les dangers du fact-checking biaisé et les solutions pour une réinformation efficace. Découvrez les analyses critiques de Michel Colon et Idriss Aberkane, experts engagés dans la lutte contre la manipulation de l’information.

Source: Mizane TV
Dans un monde saturé d’informations, il est de plus en plus difficile de distinguer le vrai du faux. Les « fake news », ces informations délibérément fabriquées et trompeuses, sont devenues un sujet de préoccupation majeur. Comment s’informer correctement à l’ère de la désinformation et du conspirationnisme ? Michel Collon, journaliste et fondateur d’Investig’Action, et Idriss Aberkane, docteur et entrepreneur, analysent les enjeux de la désinformation et proposent des pistes pour se réinformer.
La distinction entre fake news et désinformation est cruciale.
Pour Michel Collon, les fake news sont des « mensonges délibérés et fabriqués » comme les fausses images d’atrocités ou les récits inventés de toutes pièces. La désinformation, quant à elle, est plus large : elle consiste à cacher des faits importants, à manipuler le contexte et à orienter l’interprétation des événements. Idriss Aberkane souligne que les « deepfakes », ces vidéos hyperréalistes créées par l’intelligence artificielle, représentent une menace croissante.

Le fact-checking, souvent présenté comme un rempart contre la désinformation, est remis en question. Aberkane le qualifie de « terrorisme intellectuel » car il tend à imposer une vérité officielle et à discréditer toute voix discordante. Il dénonce l’utilisation de techniques de manipulation par les fact-checkers comme le « cyber blurring » qui consiste à noyer une information véridique dans un flot d’informations non pertinentes. Collon partage ce scepticisme et accuse les médias mainstream de s’approprier le fact-checking pour discréditer les médias alternatifs.
« Le fact-checking, c’est du terrorisme intellectuel«
Face à la prolifération des fake news, l’éducation du public est primordiale.
Aberkane plaide pour le développement d’une « intelligence artificielle open source » qui permettrait de lutter contre les biais des algorithmes des géants du web comme Google et Facebook. Collon appelle à un retour aux conversations « en vrai » pour sortir des bulles de filtres des réseaux sociaux et confronter ses idées à celles des autres.
L’analyse des guerres et des conflits doit être plus scientifique. Collon insiste sur l’importance de comprendre les intérêts économiques qui se cachent derrière les conflits. Il encourage le public à étudier les documents des « adversaires » pour décrypter leur logique et leurs stratégies.
La loi contre les fake news votée sous Macron est jugée dangereuse et liberticide. Collon la qualifie de « loi totalitaire » qui donne au gouvernement le pouvoir de décider de la vérité et du mensonge. Aberkane dénonce son inefficacité et son caractère partial, citant des exemples où des informations fausses diffusées par des personnalités politiques n’ont pas été sanctionnées.
Le terme « complotiste », utilisé pour discréditer les voix critiques, est en train de perdre son pouvoir. Aberkane observe que cette accusation, initialement utilisée pour faire taire les contestataires, est en train de se retourner contre ses auteurs. Il compare ce phénomène à la capacité des systèmes biologiques d’intégrer et de transformer les éléments initialement perçus comme des menaces.
Pour s’informer correctement, il faut prendre conscience de ses propres biais cognitifs.
Aberkane souligne que notre cerveau a tendance à privilégier les informations qui confirment nos opinions préexistantes. Collon insiste sur l’importance de distinguer neutralité et objectivité. Selon lui, aucun journaliste n’est neutre, mais il est possible d’être objectif en présentant les faits de manière complète et honnête.
La lutte contre la désinformation est un combat permanent qui nécessite une prise de conscience collective. L’éducation, l’esprit critique et la recherche d’informations provenant de sources diverses sont les meilleures armes pour se prémunir des manipulations et s’informer de manière éclairée.
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Un rapport américain explosif sur la gestion du Covid-19 : vers une libération de la parole en France ?
Rapport américain explosif sur la gestion du Covid-19 : Les interviews de Fouché, Raoult et Rosen !

Source: Tocsin et Ligne Droite
Un rapport de 500 pages, fruit de deux années d’enquête menée par la Chambre des Représentants américaine, vient de secouer le monde. Publié lundi dernier, il remet en question de nombreux aspects de la gestion de la crise sanitaire et confirme des suspicions qui ont valu à certains d’être qualifiés de “complotistes” ces dernières années. En France, l’omerta persiste, mais pour combien de temps ?
La vérité éclate au grand jour : un virus artificiel et des effets secondaires avérés
L’une des révélations majeures du rapport américain est la confirmation de l’origine artificielle du SARS-CoV-2. Développé en laboratoire avec des fonds américains, le virus serait issu d’une fuite, volontaire ou non, du laboratoire de Wuhan. Ce constat, longtemps balayé par les autorités sanitaires et les médias mainstream, donne raison à ceux qui, comme le Professeur Montagnier en France, ont été ostracisés pour avoir avancé cette hypothèse.
Autre point crucial, le rapport admet l’existence de nombreux effets secondaires liés à la vaccination anti-Covid. Des effets secondaires minimisés, voire niés par les autorités sanitaires françaises, mais désormais avérés par une commission d’enquête américaine.
La peur, outil de manipulation et d’enrichissement
Le rapport américain met en évidence l’instrumentalisation de la peur par les gouvernements et les médias. Une peur entretenue pour justifier des mesures liberticides et permettre l’enrichissement des multinationales pharmaceutiques.
Louis Fouché, médecin réanimateur et invité de l’émission Tocsin, dénonce la collusion entre les multinationales globalisées, les États et les médias dans une logique fasciste. Une “fabrique du consentement” qui a permis d’imposer des mesures sanitaires absurdes et inutiles.
Béatrice Rosen, actrice et lanceuse d’alerte, témoigne des conséquences dramatiques de ces mesures : accouchements sous masque, isolement des malades, déficits d’apprentissage chez les enfants. Des traumatismes qu’elle refuse de pardonner, tant que l’omerta persiste en France.
Vers un système de santé algorithmique et totalitaire ?
Louis Fouché s’inquiète de la transition de notre système de santé vers un modèle algorithmique, piloté par l’intelligence artificielle et les géants du numérique. Une médecine déshumanisée, où le patient est réduit à une donnée et le médecin à un simple exécutant.
Il appelle à un retour à une médecine plus humaine, centrée sur la prévention et le bien-être du patient. Une médecine qui intègre les savoirs traditionnels et les nouvelles technologies, en plaçant l’humain au cœur du système.
L’espoir d’un changement de cap ?
Le rapport américain pourrait marquer un tournant dans la perception de la crise sanitaire. La reconnaissance des erreurs commises et des manipulations orchestrées ouvre la voie à une véritable remise en question.
L’arrivée de personnalités comme Robert Kennedy Junior et Jebataria à la tête des institutions sanitaires américaines laisse entrevoir un changement de paradigme. Un espoir partagé par Louis Fouché, qui voit dans le programme de Kennedy Junior une volonté de s’attaquer aux causes profondes de la maladie et de restaurer une médecine au service du bien commun.
En France, la libération de la parole est encore timide, mais le vent est en train de tourner. Des voix s’élèvent pour réclamer une commission d’enquête indépendante et la levée du secret-défense sur la gestion de la crise. L’exemple américain pourrait bien inspirer les Français à exiger la vérité et la justice.