Sante
Un scandale Bill Gates ?
André Bercoff et le Pr. Raoult mettent en lumière les préoccupations concernant les conflits d’intérêts de Gates, notamment ses liens avec l’industrie pharmaceutique, et il soulève des questions quant à l’influence de son financement sur les décisions de l’OMS.
Financement et Influence sur l’OMS
Bill Gates et ses fondations représentent 19% du financement de l’OMS, ce qui lui donne une influence considérable sur les politiques de santé mondiales. Raoult souligne que cette situation crée un conflit d’intérêts majeur, car Gates est également actionnaire majoritaire de Gilead, le fabricant du Remdesivir. Il souligne que Gates a fait la promotion du Remdesivir comme traitement du COVID-19 malgré son inefficacité et ses effets secondaires potentiels, et cela pour son propre profit financier.
Investissements et Promotion des Vaccins
Gates a investi massivement dans les sociétés pharmaceutiques produisant des vaccins contre le COVID-19, notamment Pfizer et Moderna. Il a activement encouragé la vaccination de masse, y compris pour les enfants de moins de 15 ans, malgré les risques potentiels et l’absence de bénéfice clair pour ce groupe d’âge. Raoult critique cette approche en la qualifiant de dangereuse et inutile, soulignant que les vaccins n’ont pas la même toxicité et que certains lots peuvent être plus nocifs que d’autres.
Contrôle de l’Information et Musellement des Critiques
Gates a dépensé des sommes considérables pour financer les médias, notamment CNN, la BBC et Le Monde, ce qui, selon Raoult, lui permet de contrôler l’information et de museler les voix critiques. Il rappelle que Gates de finance des campagnes de dénigrement à son encontre, notamment via l’association de Madame Bich, afin de discréditer ses positions sur l’hydroxychloroquine et la gestion de la pandémie.
Raoult dénonce la difficulté de publier des études critiques sur les vaccins ou sur les conflits d’intérêts dans le domaine de la santé, en raison de la puissance de l’industrie pharmaceutique et de l’influence de Gates.
Philanthropie et Capitalisme : Un Pacte Faustien ?
Raoult met en doute la sincérité de la philanthropie de Gates, la qualifiant de « philanthrocapitalisme« dont le but est de blanchir son image et d’accroître sa fortune tout en contrôlant des secteurs clés comme la santé. Il souligne l’échec des initiatives de Gates dans la lutte contre la polio et le paludisme, affirmant que ces projets ont aggravé la situation et n’ont pas atteint leurs objectifs.
Raoult compare Gates à d’autres figures controversées comme John D. Rockefeller, et appelle à la prudence face aux promesses des milliardaires qui prétendent « sauver le monde » par le biais de la science et de la technologie.
Raoult dénonce ainsi l’influence grandissante de Bill Gates sur la santé mondiale, qu’il perçoit comme une menace pour la démocratie et la liberté scientifique. Il met en évidence les conflits d’intérêts massifs, de manipulation de l’information et de promotion de solutions inefficaces et potentiellement dangereuses pour son propre profit.